Vous avez des questions sur l’ostéopathie qui restent sans réponse ? Regardez ci-dessous, vous trouverez sûrement des informations complémentaires. Si ce n’est toujours pas le cas, n’hésitez pas à me contacter.
Je vous invite à cliquer ICI pour vous rendre sur la page concernant l’ostéopathie, son histoire, son fonctionnement et le déroulement d’une consultation.
Je vous invite à cliquer ICI pour vous rendre sur la page concernant le déroulement d’une consultation ostéopathique.
Il n’y a pas d’âge pour consulter en ostéopathie. Du nourrisson au sénior, chacun aura un traitement ostéopathique adapté et qui lui sera propre. Toutes les spécificités de l’âge du patient seront prises en compte, les indications et les techniques diffèrent selon l’âge. Par ailleurs, de plus en plus de maternités intègrent des ostéopathes dans leur équipe pluridisciplinaire. Dans certains cas, les nourrissons reçoivent leur premier traitement ostéopathique dès leur premier jour de vie !
La consultation coûte 55€ et dure environ 30 à 50 minutes. La plupart des mutuelles remboursent l’ostéopathie, votre ostéopathe vous remettra en fin de consultation une note d’honoraires qui vous servira de justificatif auprès de votre complémentaire santé.
Pour en savoir plus, je vous invite à visiter la page Tarifs et Remboursements.
OUI. Votre ostéopathe vous remettra une note d’honoraires en fin de consultation. Elle vous servira de justificatif auprès de votre complémentaire santé. Pour connaître les conditions de prise en charge de votre mutuelle, n’hésitez pas à la contacter ou regarder votre contrat.
Retrouvez une liste des mutuelles remboursant l’ostéopathie.
OUI. Il est intéressant de consulter même quand tout va bien (de manière occasionnelle). L’ostéopathe fera alors un bilan complet (de la tête aux pieds) et traitera les éventuelles dysfonctions qu’il aura pu retrouver lors de ses tests. L’objectif est alors de réduire au maximum les tensions (musculaires, articulaires, viscérales…) de votre corps et éviter ainsi l’apparition de douleurs futures.
Il s’agit d’une « révision », d’un « nettoyage », d’une « mise au point » mécanique, dans le but d’optimiser le fonctionnement de votre corps dans son ensemble.
Cela dépend… Il n’y a pas de règle. Seul votre ostéopathe pourra répondre à cette question après son premier traitement. En effet, il est impossible de prédire combien de séance nécessitera votre motif de consultation. Cela dépend de trop de facteurs qui vous sont personnels : motif de consultation et de son ancienneté, de vos antécédents médicaux, chirurgicaux, traumatiques, âge, rapidité de votre corps à répondre au traitement ostéopathique…
Dans tous les cas, votre ostéopathe, cherchant l’autonomie de son patient, vous proposera le moins de séances nécessaires possible.
Par ailleurs, entre deux consultations, il est bénéfique de laisser un certain temps (que votre ostéopathe estimera) afin que votre corps s’adapte à tous les petits changements d’équilibre dû au traitement ostéopathique.
De manière générale, il faut environ 1 à 3 séances afin de régler un problème d’ordre fonctionnel.
NON, ce n’est pas une obligation. Les ostéopathes sont des thérapeutes de première intention. Il n’y a donc pas besoin de consulter son médecin auparavant. Votre mutuelle vous remboursera de la même façon que vous ayez une ordonnance ou non.
OUI. Plus vous donnerez d’informations à votre ostéopathe, plus il cernera votre motif de consultation rapidement. En apportant vos résultats d’examens médicaux (radiographie, scanner, IRM, échographie, examen de laboratoire…), votre ostéopathe les analysera et pourra, si c’est nécessaire, les prendre en compte et adapter ses techniques.
NON. Ce n’est d’ailleurs le but d’aucune technique ostéopathique que de faire « craquer une articulation », l’ostéopathe cherche seulement à redonner toute la mobilité à l’articulation. Ce bruit articulaire ne signifie, à aucun moment, que l’articulation est « remise en place ». Ce son sec n’est en fait rien d’autre que le son d’une bulle qui implose. Nous appelons ça un son de cavitation. Cette fameuse bulle est due à des changements de pression à l’intérieur de l’articulation, dans le liquide synovial (contenant de l’azote et du gaz carbonique en petite quantité). Cette formation de bulle prend environ 20 minutes à se reproduire et peut à nouveau être audible.
Lors de certaines manipulations ostéopathiques, le mouvement créé par la technique fait imploser cette bulle qui produit alors ce son de cavitation. Toutefois certaines articulations ne contiennent pas de bulle, le « craquement » n’est donc pas possible, ce qui ne veut pas dire que la technique utilisée n’a pas été efficace.
La formation en ostéopathie se regroupe sur 5 années correspondant à 4860h minimum. Nous y retrouvons une partie de formation théorique, sous formes de cours magistraux, travaux dirigés et bien évidemment de pratique (dès la première semaine de formation).
La théorie se compose de matières fondamentales : anatomie, physiologie, sémiologie, biologie, histologie, embryologie, traumatologie, psychologie, sciences humaines, sciences sociales, histoire de la médecine et de l’ostéopathie, gestion et droit…
La pratique, quant à elle, regroupe des cours et travaux pratiques concernant toutes les différentes techniques ostéopathiques, mais aussi de nombreuses consultations au sein de la clinique de l’école de formation, des stages en milieu hospitalier (chirurgie orthopédique, viscérale, service d’imagerie médicale, maternité, service de gynécologie-obstétrique…), des stages de dissections…
Au cours des années de formation, des unités de valeur doivent être validées afin de pouvoir poursuivre le cursus. Un mémoire de fin d’étude vient sanctionner l’ensemble de la formation, avec une soutenance devant un jury.
Pour certains autres professionnels de santé (médecins, masseur-kinésithérapeute…) il est possible d’intégrer une formation d’ostéopathie à temps partiel afin de pouvoir user du titre d’ostéopathe.
NON. L’ostéopathie n’est pas dangereuse si elle est pratiquée correctement. L’ostéopathe étant un thérapeute de première intention, il choisira des techniques non dangereuses (et donc adaptées) parmi un large éventail thérapeutique, si jamais il y a une contre-indication à l’usage de certaines techniques ostéopathiques.
Si toutefois votre ostéopathe estime, en faisant un diagnostic d’exclusion, que votre état de santé ne révèle pas de l’ostéopathie, il vous réorientera vers un spécialiste adapté.
OUI, comme dans toutes médecines. Toutefois ils sont rares, léger et surtout bénin.
Le principal effet secondaire est une fatigue passagère. Durant toute la phase de traitement, l’ostéopathe demande une réponse à votre organisme et cela peut vous fatiguer. Cette réaction est tout à fait normale et passe en général rapidement.
En fin de consultation, votre ostéopathe vous explique le processus du traitement, ainsi que des éventuelles réactions que vous pouvez ressentir après la consultation.
Après un traitement ostéopathique le corps continue de travailler et de chercher son équilibre. Pour cette raison, quelques fois, le corps peut se sentir désorienté pendant 2-3 jours et manifester de légères douleurs similaires à des courbatures, des rougeurs de la zone traitée (dues à une amélioration de la circulation sanguine), fatigue, somnolence, léger maux de tête dans quelques plus rares cas. C’est un processus tout à fait naturel.
De façon beaucoup plus rare, des cas d’exacerbation temporaire de la douleur ou sensation temporaire de raideur ou de restriction d’amplitude ont pu être observé à travers différentes études.
Si jamais vous avez des questions sur un éventuel effet secondaire suite à une consultation ostéopathique, n’hésitez pas à contacter votre ostéopathe.
Le masseur-kinésithérapeute s’occupe de la rééducation des personnes atteintes de paralysies, de troubles neurologiques et des accidentés. Il prend aussi en charge les enfants et adultes souffrant d’affections respiratoires, circulatoires ou rhumatismales à retrouver une fonction motrice normale.
Le masseur-kinésithérapeute utilise des techniques manuelles, telles que des massages, des étirements, mais aussi du renforcement musculaire à l’aide d’appareils, de poids… Il utilise aussi les ultrasons, la ionisation, les lampes chauffantes, le froid…
A partir du diagnostic d’un médecin, il décide du traitement à mettre en place.
Le diplôme de Masseur-kinésithérapeute se prépare en 3 à 4 ans (avec éventuellement un passage en première année en faculté de médecine). (Source CIDJ – Onisep)
L’ostéopathe a pour rôle de rééquilibrer le corps dans sa globalité (muscles, articulations, viscères, fascias…) en recherchant de la cause des symptômes. Il s’agit d’un thérapeute de première intention, vous pouvez le consulter sans passer par votre médecin au préalable.
L’ostéopathe utilise la palpation dans le but de diagnostiquer et de traiter des dysfonctions de mobilité occasionnant une altération de l’état de santé (douleurs, gènes, troubles…). Il travaille donc aussi bien sur les muscles, les articulations, les viscères, les nerfs… de la tête aux pieds.
A travers un très vaste choix de techniques exclusivement manuelles, il se fixera pour objectif l’optimisation du fonctionnement du corps dans les délais les plus brefs et sur le plus long terme possible. Les techniques utilisées peuvent être structurelle, fasciale, viscérale, crânio-sacrée…
L’ostéopathe peut intervenir de manière curative, mais aussi préventive. Dans les deux cas, l’objectif sera un retour à la mobilité et à la rééquilibration.
L’ostéopathe s’occupe de patients de tout âge, des nourrissons aux séniors en passant par les femmes enceintes, les sportifs…
Le diplôme d’ostéopathie se prépare en 5 ans au cours desquelles la pratique a une place très importante. Les 3 dernières années de formations les étudiants commencent à pratiquer dans les cliniques rattachées à l’école de formation. Après avoir validé toutes les unités de valeur au cours des années, l’étudiant doit soutenir un mémoire de fin d’étude afin de valider l’ensemble de son cursus.
Comme vous l’aurez compris, il s’agit donc de deux professions différentes, qui toutefois sont très complémentaires. En effet, il n’est pas rare qu’un ostéopathe oriente son patient vers un kinésithérapeute, s’il estime qu’un suivi kinésithérapeutique est adapté ou si la pathologie relève plus de cette pratique. Inversement, les masseur-kinésithérapeutes recommandent à leur patient un ostéopathe afin de compléter leur traitement.
Pour beaucoup de personnes, l’ostéopathie offre de nombreux avantages.
Il s’agit d’une prise en charge « 100% naturelle » et sans médication. Cette donnée a toute son importance chez les femmes enceintes, les nourrissons, les personnes ayant déjà un traitement médicamenteux lourd ou les patients souhaitant minimiser l’absorption de molécules chimiques.
La pratique ostéopathique est respectueuse de l’anatomie, de la physiologie, et dans un sens, du corps de chacun de ses patients. Elle est par ailleurs, adaptée, personnalisée à chacun de ses patients, un traitement ostéopathique est donc unique et non intégralement reproductible.
De plus, l’ostéopathie a pour but de diagnostiquer et traiter la cause des symptômes que le patient présente. Elle agit donc en amont du symptôme et ne se contente pas de « cacher » la douleur.
La prise en charge ostéopathique est reconnue comme très performante, dans 80% (tout motifs de consultation confondus) des cas elle connait des résultats positifs et rapides, diminuant par ailleurs considérablement les coûts de santé.
Les effets secondaires liés à un traitement ostéopathique sont rares, légers, bénins et surtout temporaires quand ils sont présents.